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Mausolée du Báb que le Mont Carmel à Haïfa, Israël                 * Photo Golgasht Mossafai

Montréal, le 23 mai, 2020 –  Dans une dizaine des quartiers à Montréal comme partout dans le monde, les bahá’ís ont célébré la déclaration de la mission du Báb, le Héraut d’une Foi universelle. Ces célébrations ont été organisé par les moyens de communications en ligne avec la participation d’un grande nombre de participants.

Ce jour est également important pour le monde entier car la première communication en morse a été transmis de Baltimore ; un message télégraphique constitué de points et de traits ! Un curieux message ;  "What hath God wrought", "Ce que Dieu a forgé". L’auteure du message ; un verset de l’ancien Testament (Nombre 23:23); n’est autre que Annie Ellsworth qui cherchait une phrase convenable, d’après la demande de  Samuel Morse, concepteur de l’alphabet du même nom. Il n’est pas certain si Annie a trouvé ce verset par hasard ou qu’elle a pris son temps pour trouver une phrase qui pouvait signifier l’importance de l’événement ! Elle était dans le sous-sol du bâtiment nommé Capitol à Washington, l’endroit où la cour suprême du pays est située. L’attention de Annie est portée sur une Bible dans la salle et, probablement, elle avait pensé qu’elle pouvait trouver une phrase dans ce livre d’une importante signification dedans et voilà !

Samuel Morse n’était pas destiné à marquer l’histoire des télécommunications. Figurez-vous que, de métier, il était peintre ! Cette idée d’envoyer des messages à la vitesse de l’électricité lui serait venue au moment de la mort de sa femme… Il se trouvait à l’époque en déplacement à Washington, pour un portrait du général de La Fayette et, prévenu trop tard de l’état de sa femme, il n’avait pu rentrer à temps pour lui faire ses adieux. Il s’est alors promis d’inventer un moyen de transmettre des informations plus rapidement qu’à la vitesse du courrier.

Morse se trouve alors à 600 kilomètres de là, à Washington, au Capitole. La destination du message à Baltimore. Transmission à trente caractères par minute, ce court message à transformé l’histoire de la télécommunication à travers le monde ! Depuis lors, évidemment, le morse est un peu tombé en désuétude, remplacé par les radios, les portables, et même Internet !

L’appareil de Samuel Morse, le télégramme, la Bible en question, le message télégraphique en forme de points et tiretsse trouvent actuellement au musée de Sciences et de Technologies à Washington DC.

Pendant les mêmes 24 heures, au premier étage de la modeste demeure dans un quartier pauvre de Shiráz, en Iran, le fils d’un drapier, descendant de la lignée prophétique d’Abraham et de Muhammad, inaugure une Révélation nouvelle pour l’humanité, une Révélation unificatrice qui engendre la futur relation globale des être humains, l’Ère nouvelle de l’humanité ! 

La vie et les enseignements du Báb marquent un tournant dans l’histoire de l’humanité. Né Siyyid Ali-Muhammad en 1819, il prit le nom de Báb, qui signifie « la Porte » en arabe. Sa mission publique, de 1844 à 1850, a représenté une révolution spirituelle qui a bouleversé l’ordre social, politique et religieux qui prévalait en Perse, ouvrant la porte à la nouvelle vision unifiante de Bahá’u’lláh.

Le Báb était un messager de Dieu dans la succession d’éducateurs divins venus au cours des siècles, incluant Abraham, Krishna, Zoroastre, Moïse, Bouddha, Jésus et Muhammad. Le Báb est apparu à un moment de l’histoire où les cultures et les peuples du monde se rapprochaient comme jamais auparavant. Le XIX e siècle a connu une série de changements dans les domaines économique, politique, scientifique et culturel si profonds qu’un éminent historien l’a qualifié de siècle de « transformation du monde ».

Montréal, le 8 avril 2020 – L’un des membres les plus aimés et les plus actifs de la communauté bahá'íe de Montréal, Khosrow Saidi (1940-2020), a quitté ce monde mortel pour le royaume immortel de l’éternité ! Cette nouvelle inattendue a apporté une profonde tristesse et un profond sentiment de perte pour toute la Communauté bahá’í montréalaise.

En réponse à l'appel de la Maison universelle de justice et dans le cadre des activités de l’expansion de la foi bahá’íe, la famille Saidi a quitté l'Iran en 1975 pour servir en Afrique. La jeune famille inspirée par l’amour de la foi, a quitté leur patrie pour la première fois pour servir dans un continent inconnu.

En quittant l'Iran, ils savaient seulement qu'ils iraient en Afrique de l'Ouest. Leurs voyages les ont conduits d'abord au Niger, puis au Togo et ensuite au Ghana avant d'atterrir en Côte d'Ivoire.

M. Saidi, comme nous le savons tous, était connu pour ses blagues et son grand sens de l'humour, toujours prêt à aider les amis à tout moment, peu importe l’obstacle ! Il était toujours très positif, avec une immense confiance dans l'amour et la puissance de Dieu. Sa vie était dédiée à la foi !

Il aimait particulièrement ouvrir la porte de leur maison à des amis et des invités, dans la mesure où sa famille pensait que c'était une condition préalable d'avoir un invité à la maison pour déjeuner, dîner ou dormir. La question importante de la journée était « Qui est à la maison aujourd’hui ? ». Leur maison était connue sous le nom de «  Hôtel Saidi »  où des centaines d'amis, de pionniers et de serviteurs de nombreuses institutions bahá’íes se sont rassemblés et y ont séjourné.

À Abidjan, alors qu’il était responsable du Centre d’Enseignement de Radiotélévision de l’Université de Côte d’Ivoire, il a contribué à l’inauguration du premier Centre audiovisuel bahá'í d’Afrique de l’Ouest. À ce poste, il a supervisé la production de matériel audiovisuel pour aider à enseigner la foi dans de nombreux pays d'Afrique de l'Ouest.

Depuis les dernières 35 ans, suite aux problèmes politiques en Côte-d’Ivoire, la famille Saidi a transféré son champs de service à Montréal où M. Saidi a servi au sein de différentes Institutions de la Foi, pratiquement jusqu’à la fin de sa vie. 

En 2017, son état de santé a commencé à se détériorer : il a lentement commencé à perdre la parole, mais pas son sourire et son habitude d'embrasser tout le monde pour démontrer son affection. En 2018, sa santé a atteint un stade critique. 

La pandémie a malheureusement empêché la famille d’être avec M. Saidi au cours des quatre dernières semaines avant que son âme ne prenne son envol vers le royaume d'Abhá. Nous sommes toutefois confiants que son âme ressentait leurs prières journalières au cours des derniers jours de sa vie.

La communauté bahá'íe de Montréal envoie sa profonde sympathie et son amour à son épouse, Mehri, à son fils Arash et à sa fille, Anissa ainsi qu'à son conjoint Poupak Jannissar, et ses petits-enfants, Bayan, Daryan, Léana, Mila et Kami.

Personne d’entre nous n'était un meilleur exemple de l'esprit de service, de l’hospitalité et de la chaleur d'affection que dégageait M. Saidi. Nous chérissons son mémoire de la même manière qu’il nous a accueilli, alors que la grande chaleur de son esprit nous enveloppait et soulevait toujours nos cœurs.

Une centaine de participants ont partagé une commémoration virtuelle à travers les continents.

Montréal, le 8 avril 2020 – Suite au règlement de la ville, la communauté bahá’íe montréalaise a conseillé tous ses membres à prendre connaissance—et à suivre—les mesures mises en place par les autorités sanitaires et le gouvernement pour arrêter la propagation du virus COVID 19. Par conséquent, tous les rassemblements communautaire à été suspendus au Centre bahá’í aussi bien que dans les quartiers. 

Le fameux bourlingueur du livre « La Terre n’est qu’un seul pays », André BRUGIROUX a fait la remarque suivante : « Ce Covid-19 ne doit pas être aussi mauvais que ça puisqu'on y retrouve dedans un des chiffres "fétiches" des bahá’ís : le 19*. A voir ce qui  va en résulter. Voilà une cinquantaine d'années que je braille dans le vide pour essayer de faire comprendre aux gens que la terre n'est qu'un seul pays. Ce petit virus est en train de le démonter de façon irréfutable ! »

Dans une lettre adressée à la communauté, l’Assemblée spirituelle des bahá’ís, Institution administrative qui gère les affaires de la communauté à Montréal explique : - Comme il est étrange pour nous en tant que bahá'í, qui s’efforce de tout cœur de rassembler les gens ; doit faire maintenant tout ce qui est possible pour les séparer ! Alors que nous nous joignons à l'effort mondial pour pratiquer la « distanciation sociale » afin de jouer notre rôle dans la limitation des infections au moins de personnes possible, nous nous retrouvons dans des eaux inconnues. Comment poursuivre nos activités sans se retrouver ?

Nous sommes très heureux d'annoncer que la communauté a relevé ce défi avec enthousiasme et vigueur, se tournant vers la technologie pour surmonter notre séparation spatiale. Immédiatement, un certain nombre de quartiers ont utilisé le logiciel de téléconférence disponible sur le web, pour organiser la dernière fête, l'utilisent pour les réunions dévotionnelles. Les activités des pré-jeunes se poursuivent, presque sans interruption, en ligne.

En effet, la fête** de 19 jours de Jalál (Gloire) a eu lieu dans plusieurs quartiers en ligne avec la participation d’un grand nombre d’amis ! Les prières et les textes sacrés ont été récité et la consultation sur différents sujets ont eu lieu comme d’habitude ! La partie manquante était malheureusement la partie sociale ! Malgré tout, certains amis avaient préparé les gâteaux de fête mais manque d’un système de télé-transportation, nous n’avons pas pu les goûter !

L’Assemblée spirituelle continue dans sa lettre que pendant que nous restons tous à la maison, pour certains d’entre nous vivant seuls, c’est particulièrement difficile. Que ce soit pour faire l'épicerie, chercher quelque chose dans une pharmacie ou simplement les accompagner dans leur solitude, il faut soutenir ceux et celles qui se trouvent dans situation semblable et de développer un moyen pour entrer en contact avec eux et faire une différence.

Il est à noter que les communautés religieuses présentes au Québec ont demandé à la population de pratiquer leur religion à la maison et utiliser les moyens de communications électroniques pour célébrer les activités religieuses !

« On essaie de motiver tout le monde qui, au nom de la foi, pourrait peut-être trouver difficile d’arrêter d’aller dans leur lieu de prière habituel, mais de le faire comme acte de solidarité avec l’ensemble du Québec et du Canada », a déclaré monseigneur Christian Lépine, archevêque de Montréal et membre de l’Assemblée des évêques catholiques du Québec, à QUB radio mardi matin.    

« La religion donne une force d’âme, si on veut, mais est aussi un appel à être solidaire avec les autres donc ce n’est pas un appel à court-circuiter la science », a-t-il souligné.  

*La valeur numérique du chiffre 19 est égale au mot « unité » dans le numérologie arabe.

**La fête de 19 jours est célébrée au début de chaque mois bahá’í.  Le calendrier bahá’í est basé sur l’année solaire de 19 mois de 19 jours avec 4 ou 5 jours intercalaires pour compléter une année de 365 jours.

Les Photos : La fête de 19 jours en ligne et la conférence d'André BRUGIROUX diffusée à travers le monde!

Montréal, le 16 février 2020 - La communauté bahá'íe de Montréal a organisé une réunion de commémoration pour honorer la vie d'’Ali Nakhjavani, qui a pris son envol vers le monde s’au-delà le 11 octobre 2019 en France.

‘Alí-Yulláh Nakhjavání est né le 19 septembre 1919 à Bakou, alors République démocratique d'Azerbaïdjan, à ’Ali-Akbar Nakhjavání et Fatimih Khánum, tous deux les baha'is qui ont rendu des services remarquables à la cause de Bahá’u’lláh. Après la mort de son père vers 1921, alors qu'il n'avait que deux ans, ʻAbdu'l-Bahá a conseillé à sa famille de déménager à Haïfa, où il a été élevé. 

Il a obtenu son baccalauréat ès arts de l'Université américaine de Beyrouth en 1939. Au début des années 40, il a voyagé en Iran, résidant d'abord à Tihrán, puis à Tabriz et enfin à Shiraz. Il a été élu en 1950 en tant que membre de l'Assemblée spirituelle nationale d'Iran, l'organe directeur des baha'is de ce pays, où il a siégé jusqu'à l'année suivante. Il s'est marié à Tihrán avec Violet Banáni, une fille de feu Main of the Cause de Dieu, Músa Banáni.

Violet, ‘Ali et leurs deux jeunes enfants, Bahiyyih et Mehran, ont déménagé en 1951 en Ouganda, en Afrique, pour aider au développement de la communauté baha'ie dans ce pays. Pendant qu'il était là, il a travaillé comme enseignant et conférencier. Au cours de ses premières années là-bas, Enoch Olinga (nommé plus tard Main de la cause de Dieu par Shoghi-Effendi) a rejoint la Foi. En 1953, accompagné de sa femme avec Olinga et deux autres bahá'is, Ils se sont rendus d'Ouganda au Cameroun pour aider à la propagation de la foi bahá'íe dans ce pays. Trois ans plus tard, il a été nommé membre auxiliaire de l’Institution des Mains de la Cause de Dieu et en 1956, il a été élu à l'Assemblée spirituelle nationale des bahá'ís d'Afrique centrale et orientale. 

En 1961, il a été élu au Conseil international bahá'í - le précurseur de la Maison universelle de justice, l'organe directeur mondial de la communauté bahá'íe - et a donc déménagé à Haïfa. En 1963, il a été élu à la Maison universelle de justice lors de sa convention inaugurale et a été membre de cet organisme jusqu'en 2003. Après sa retraite du Centre mondial baha'i, 'Ali Nakhjavání et Violet ont voyagé à travers l'Europe, l'Amérique du Nord et l'Azerbaïdjan russe. Ils se sont rendus à Montréal à plusieurs reprises et ont assisté à la célébration du centenaire du passage d’Abdu’l-Bahá dans cette ville ainsi qu’à la cérémonie d’inauguration du sanctuaire bahá’í ( maison des Maxwell ).

Que ce soit en vacances ou en mission spéciale de la part de la Maison universelle de justice, le continent africain faisait partie de son itinéraire, là où il a passé l'une de ses parties les plus précieuses de sa vie. Les dix ans qu'il y a vécu en Afrique, il a voyagé à travers le continent dans différents pays, il a aimé son peuple, sa culture, son ouverture spirituelle, sa réponse digne et simple mais puissante au message d'unité et de foi. Les années en Afrique sont restées avec lui jusqu'à ses derniers jours sur cette terre. Chaque fois qu'il avait la chance de visiter l'Afrique, on pouvait vraiment ressentir son amour envers le continent africain et ses habitants. Son cœur était en Afrique, ses pensées, ses préoccupations, son amour pur était pour les nombreuses personnes avec lesquelles il avait croisé ses années dans ce continent déchiré mais merveilleux. Il aimait le caractère authentique des gens qu'il rencontrait, leur pureté, leur joie et leur bonheur malgré leurs difficultés. Son travail et son service infatigable en Ouganda, dans les villages reculés et les zones rurales, ses voyages extraordinaires avec une petite voiture à travers les routes boueuses et folles pour parcourir divers pays avec sa femme bien-aimée pour amener M. Olinga de l'autre côté du continent, les aventures, la crise, les victoires - tout cela a fait que son âme est tombée amoureuse de l'Afrique et a créé un lien spécial avec le continent qui durera pour toujours.

Il y a tellement de gens qui portent son nom en Afrique parce que, selon la tradition, si vous touchez la vie de quelqu'un, leurs enfants reçoivent votre nom en hommage, vous trouverez donc beaucoup de gens dont le prénom est Nakhjavání. Plus important encore, ils portent son esprit : l'esprit de service et de dévouement qu'il a fait resplendir pendant toutes ces années.

Si l'on veut se souvenir de M. Nakhjavání, on ne peut s'empêcher de penser aussi à sa compagne bien-aimée tout au long de sa vie, chère Violette Nakhjavání - ensemble, ils représentaient un exemple d'unité, de respect et d'amour qui est rarement vu. 

Jalál Nakhjavání 

17 Sep 1917 - 9 Mai 1982

‘Ali Nakhjavání ne voudrait jamais qu'on se souvienne de lui sans mentionner ses parents bien-aimés et son cher frère Jalál. Son immense amour pour son père et surtout pour sa mère est indescriptible. Chaque service, chaque victoire, chaque succès de sa vie n'a pas été revendiqué par lui. Il mentionnait toujours les bénédictions de ses parents et combien il leur était reconnaissant pour tout leur amour. 

M. Nakhjavání avait l'habitude de dire « finita la musica » à la fin de chaque discours mais comme on réfléchit sur sa vie terrestre, si proche de la célébration du bicentenaire de la naissance du Báb, il est opportun de penser qu'il vient de rejoint le début d'une pièce musicale, un beau concert spirituel dans le monde d’au-delà !

Outre ses nombreuses conférences données en Europe, aux États-Unis, en Afrique et en Russie, ‘Ali Nakhjavání est l'auteur d'une vingtaine de livres et d'articles. Il a poursuivi son travail d’auteur pratiquement jusqu'à la fin de sa vie. Ses livres exceptionnels sur la vie de son père Mirza ‘Ali-Akbar-i- Nakhjavání ainsi que « Shoghi Effendi : la portée et la puissance de sa plume » sont bien connus.

‘Ali Nakhjavání est décédé le 11 octobre 2019 à l'âge de 100 ans en France. 

C’est avec un grand chagrin que la Maison universelle de justice a transmis la nouvelle de son décès, aux premières heures de la matinée, au monde bahá’í: 

Nous pleurons la perte d’un personnage extraordinaire qui laisse derrière lui un legs distingué de service ininterrompu à la cause de Dieu. Au cours d’une vie singulièrement remarquable qui a commencé dans les dernières années de l’âge héroïque et s’est prolongée jusqu’aux confins du deuxième siècle de l’âge de formation, il a brillé dans le firmament de la dévotion désintéressée à Baha’u’llah et a été appelé à participer à plusieurs développements majeurs dans l’établissement de l’Ordre administratif, que ce soit comme membre de l’Assemblée spirituelle nationale d’Iran, en tant que pionnier intrépide en Afrique dans la Campagne de dix ans, en tant que membre du Corps auxiliaire africain lors de sa création, en tant que membre de l’Assemblée spirituelle nationale régionale de l’Afrique centrale et orientale lors de sa création, et en tant que membre du Conseil international bahá’í lors de sa première élection, prélude à son appartenance à la Maison universelle de justice lors de son établissement en 1963.

Il a apporté à ses décennies de vastes services une fidélité absolue à son bien-aimé Gardien, une profondeur exceptionnelle de connaissance de la Cause, un engagement léonin à la défense de l’Alliance, une ardeur intense pour le travail d’enseignement, une rare acuité spirituelle, et un cœur rayonnant d’amour pour tous ceux qui ont croisé son chemin. Sa vie a été une vie d’accomplissement spirituel profond, vécue à la charnière de l’histoire. Que sa consécration totale, sa foi inébranlable et son dévouement indéfectible au devoir inspirent les générations à venir. »

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