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Montréal, le 10 avril 2021 - Une fois de plus, la série de conférences commémoratives Raymond Flournoy a rassemblé plus de cent amis d'au moins deux continents d'Europe et d'Amérique ! Le sujet de la série de cette année par téléconférence est « Joseph et l'Alliance », dédié à la mémoire de Douglas Martin qui a quitté ce monde éphémère en septembre 2020.

Au cours des sept dernières années, le Dr Todd Lawson, professeur émérite de pensée islamique à l'Université de Toronto, a voulu, par le biais de ces séries de conférences, attirer notre attention sur le fait que les communautés bahá'íes et musulmanes en particulier, ainsi que toutes les autres religions, sont des révélations de la même source, qu'elles sont liées les unes aux autres et qu'elles ont le même objectif, à savoir établir l'unité et la concorde entre les peuples de la terre ! Ce discours est un des principes fondamentaux de la foi bahá'íe.

La présente série de conférences met l'accent sur le sujet de Joseph et de l'Alliance afin de démontrer le plan de Dieu pour l'humanité à travers ses révélations successives dans ce monde. Joseph, fils bien-aimé de Rachel et de Jacob, était un messager de Dieu à part entière. Jacob, connu aussi sous le nom d'« Israël », avait 12 fils mais il aimait Joseph plus que tous les autres et lui donna apparemment un manteau multicolore. Ses frères étaient jaloux de lui et l'ont vendu comme esclave. Il fut emmené en Égypte et finit par devenir l'intendant de Putiphar, l'un des fonctionnaires de Pharaon.

L'histoire de Joseph a fait l'objet de milliers d’essais d’érudition dans le judaïsme, le christianisme, l'islam et la foi bahá'íe, et c'est une coïncidence heureuse que cette série de conférences soit dédiée à Douglas Martin, un amoureux de l'Alliance. Tout au long de sa vie, Douglas a été à la fois un amoureux et un érudit de l'Alliance, selon Todd Lawson. Ses écrits sur l'Alliance sont d'une éloquence et d'une lucidité inégalées. En effet, les séries de conférences de cette année reflètent bien son engagement profond envers l'Alliance bahá'íe et ses implications pour la société et la civilisation.

La série de conférences sur « Joseph et l'Alliance » a débuté le 27 mars et se poursuivra jusqu'au 8 mai 2021, tous les samedis à 15 h par téléconférence. Plusieurs érudits et participants à la série ont déjà rendu des hommages glorieux et touchants à Douglas Martin. Les réminiscences se poursuivront au cours des sessions restantes. Son âme, sans aucun doute, accompagnera les érudits et amis qui participent à ces présentations !

Le 27 mars, un hommage approprié a été rendu à Raymond Flournoy et un court documentaire sur sa vie et ses Coins de feu a été projeté. Des réflexions personnelles de Douglas et Elizabeth Martin ont été partagées par des universitaires, des artistes, des enseignants et des amis.

La deuxième session du 3 avril 2021 a été entièrement consacrée au sujet de l'Alliance dans le Coran. Le Dr Todd Lawson a magistralement et éloquemment élucidé le sujet pour l'auditoire.

Le 10 avril, le Dr Stephen Lambden a fait une présentation fascinante sur certaines trajectoires d'introduction dans la Bible et les Écritures bahábi-bahá'íes.

Au cours des quatre prochaines semaines, jusqu'au 8 mai, d'éminents spécialistes tels que les docteurs Armin Eschraghi, Moojan Momen, Franklin Lewis et Todd Lawson parleront de Joseph et de l'Alliance tels qu'ils sont expliqués dans l'école Shaykhi, dans les écrits du Báb, dans les écrits de Bahá'u'lláh et d'Abdu'l-Bahá ainsi que dans les traditions mystiques persanes. (voir photo)

Vous êtes chaleureusement invités à assister à l'une des futures conférences en vous inscrivant au préalable sur le lien ci-dessous :

https://utoronto.zoom.us/meeting/register/tZcsfumupz0oGtdvXl1qrVFb1oHOP6zMdrJA

Bien que toutes les conférences soient en anglais, les amis sont invités à présenter leurs questions ou commentaires dans la langue de leurs choix. Les conférenciers ou un traducteur pourront répondre aux questions ou entrer dans la conversation convenablement !

 

Montréal, le 21 mars 2021 - Plusieurs quartiers ont célébré le Nouvel An bahá'í 178 B.E. par vidéoconférence dans la joie et le bonheur. Dans une communauté, les rafraîchissements ont été servis par un courrier spécial aux amis qui étaient réunis en ligne ! Des histoires, des chansons et des clips vidéo des célébrations du Naw-Rúz en Iran et dans d'autres pays du monde ont été partagés.

Les célébrations ont été suivies d'une fête de 19 jours organisée pour toute la communauté de Montréal ; le premier jour du mois de Bahá (Gloire) selon le calendrier bahá'í. Près de cent adultes et enfants ont participé à la fête. Le programme était dédié aux enfants et beaucoup d'entre eux ont contribué à des présentations dévotionnelles et musicales.

Naw-Rúz (également connu sous le nom de No Rouz, Nowruz ou Noruz), qui se traduit par "nouveau jour" en français, est le nouvel an bahá'í et persan, qui a lieu à la date de l'équinoxe vernal. Pour les bahá'ís, cette fête est fixée au 21 mars dans tous les pays en dehors du Moyen-Orient, quelle que soit la date exacte de l'équinoxe. Cependant, ceux qui célèbrent ce jour culturellement, plutôt que religieusement, le font le jour exact de l'équinoxe. Le Naw-Rúz remonte à environ 3 000 ans et est enraciné dans la foi zoroastrienne. Le zoroastrisme est une ancienne religion perse qui a précédé le christianisme et l'islam. Des millions de personnes dans le monde entier célèbrent cette fête. 

La célébration bahá'íe de Naw-Ruz est l'un des neuf jours saints bahá'ís durant lesquels le travail est suspendu. Elle a été établie par Bahá'u'lláh, le prophète fondateur de la foi bahá'íe, pour marquer le jour de fête qui suit le mois de jeûne de 19 jours. (Le calendrier bahá'í est composé de dix-neuf mois, et chaque mois compte dix-neuf jours). Le jeûne bahá'í est essentiellement une période de réflexion pendant laquelle ceux qui le peuvent s'abstiennent de manger et de boire entre le lever et le coucher du soleil. 

Pour les bahá'ís, la nouvelle année symbolise également le renouvellement du temps dans chaque dispensation religieuse. `Abdu'l-Bahá, le fils et successeur désigné de Bahá'u'lláh, a expliqué la signification du Naw-Rúz en termes d'équinoxe, de printemps et de nouvelle vie qu'il apporte. Selon les mots de 'Abdu'l-Baha :

« ... Ce jour sacré où le soleil illumine également la terre entière est appelé l'équinoxe et l'équinoxe est le symbole du messager divin. Le soleil de la vérité se lève sur l'horizon de la miséricorde divine et envoie ses rayons sur tous. Ce jour est consacré à cette commémoration. C'est le début du printemps. Lorsque le soleil apparaît à l'équinoxe, il provoque un mouvement chez tous les êtres vivants. Le monde minéral se met en mouvement, les plantes commencent à germer, le désert se transforme en prairie, les arbres bourgeonnent et tout ce qui vit réagit, y compris le corps des animaux et des hommes. » 

Le lever du soleil à l'équinoxe est le symbole de la vie et la réalité humaine est revivifiée ; nos pensées sont transformées et notre intelligence est accélérée. Le soleil de la vérité confère la vie éternelle, tout comme le soleil est la cause de la vie terrestre.

Le jour de l'apparition du messager de Dieu sur la terre est toujours un jour sacré, un jour où l'homme commémore son seigneur. »

« C'est la nouvelle année ... c'est maintenant le début d'un cycle de Réalité, un nouveau cycle, un nouvel âge, un nouveau siècle, un nouveau temps et une nouvelle année. ... Je souhaite que cette bénédiction apparaisse et se manifeste sur les visages et les caractéristiques des croyants, afin qu'ils deviennent eux aussi un nouveau peuple, et ... qu'ils fassent du monde un monde nouveau, afin que ... l'épée se transforme en rameau d'olivier ; que l'éclair de la haine devienne la flamme de l'amour de Dieu ... que toutes les races ne forment qu'une seule race ; et que tous les hymnes nationaux soient harmonisés en une seule mélodie. - 'Abdu'l-Bahá, Tablettes de 'Abdu'l-Bahá

Comme pour la plupart des jours saints bahá'ís, il n'y a pas de rituels ou de pratiques fixes associés à cette fête. Avec des adeptes provenant de tant de régions du monde, la foi bahá'íe veille à ne pas imposer une tradition culturelle à d'autres traditions, mais plutôt à encourager une culture bahá'íe internationale organique qui émerge sur la base des textes saints et non de traditions personnelles ou culturelles. Ainsi, au niveau international, la célébration est généralement observée par une réunion consistant en des prières, un festin et une célébration joyeuse ouverte à tous. Ce à quoi cela ressemble d'un endroit à l'autre dépend largement de la manière dont une famille ou une communauté bahá'íe choisit de célébrer le jour saint.

Bien que célébré de manière différente, Naw-Ruz est également fêté par les Iraniens et les Zoroastriens comme le nouvel an. Les origines de Naw-Ruz sont inconnues, mais on pense qu'il s'agissait à l'origine d'une fête pastorale de printemps. Au fil du temps, Naw-Ruz est progressivement devenue une fête séculaire en Perse et, à ce titre, elle a continué à être observée même après la propagation de l'islam en Iran. Les rois musulmans d'Iran, comme leurs prédécesseurs zoroastriens, célébraient Naw-Ruz avec une grande somptuosité.

Bien qu'il ne s'agisse pas d'une tradition bahá'íe, certains bahá'ís d'origine persane honorent les traditions associées à leur héritage culturel en introduisant dans leurs célébrations des éléments de la célébration traditionnelle persane du Naw-Ruz. Ces traditions peuvent inclure le rassemblement des familles dans des vêtements neufs ou fraîchement nettoyés ou la décoration des tables avec des fruits, des gâteaux, des œufs colorés et d'autres friandises, ainsi que des objets symboliques tels qu'un livre saint et un miroir. Parmi les coutumes les plus connues du Naw-Ruz iranien figure le "haft-sin", qui se traduit en français par "les sept S". Il s'agit de sept objets dont les noms persans commencent par la lettre "S", tels que des jacinthes, des pommes, des lys, des pièces d'argent, de l'ail, du vinaigre et de la rue, qui sont choisis et disposés de manière décorative sur une table.

Traditions persanes ou non, Naw-Ruz s'accompagne toujours d'une généreuse hospitalité et d'un délicieux festin à déguster !

 

Montréal, 18 janvier 2021 - Le Ministre canadien des Affaires étrangères et député fédéral de Notre-Dame-de-Grâce—Westmount, Québec - Marc Garneau, avait accordé lundi dernier un entretien avec les représentants des communautés bahá’íes au niveau local et national malgré

son emploi du temps très chargé.

Le but de ce rencontre  était d’offrir au ministre des très sincères félicitations pour sa nomination à titre de Ministre des Affaires étrangères. La délégation a exprimé l’appréciation de la communauté bahá’íe canadienne en ce qui concerne les efforts du ministre pour assurer le bien-être et la sécurité de notre collectivité ainsi que de tous les Canadiens. Nous souhaitons également au ministre Garneau, un mandat rempli de succès dans ses engagements communautaires et politiques.

Marc Garneau, le ministre des Affaires étrangères depuis le 12 janvier 2021 – fait partie de l'équipage de trois missions de la NASA, en 1984, 1996 et 2000. Président de l'Agence spatiale canadienne de 2001 à 2006, il devient en 2003 chancelier de l'université Carleton à Ottawa. Depuis 2008, il est député libéral à la Chambre des communes du Canada, représentant les circonscriptions québécoises de Westmount—Ville-Marie puis Notre-Dame-de-Grâce—Westmount. Depuis novembre 2015, il est également le 31e ministre des Transports du Canada, dans le cabinet de Justin Trudeau.

Le ministre Garneau connaît très bien la communauté bahá’í canadienne, ses principes, ses objectives de l’unité du genre humain et la paix universelle. Au cours de ses voyages il a déjà visité les jardins bahá’ís à Haïfa et le Centre mondial.  

Cet entretien qui a eu lieu par téléconférence était cordiale et chaleureux. La délégation a exprimé son espoir de pouvoir accueillir le ministre à l’occasion du centenaire du décès de ‘Abdu’l-Bahá au Sanctuaire bahá’í en novembre, si les circonstances le permettrait.

Montréal, le 25 février 2021 - Du coucher du soleil le 25 février au coucher du soleil le 1er mars, les bahá’ís de Montréal se joignent aux bahá’ís du monde entier pour célébrer une période joyeuse en passant du temps avec leurs amis et leur famille, en aidant ceux qui sont dans le besoin par des actes charitables et en répandant de la joie par des cadeaux. Ces jours connus également comme « Ayyám-i-Há », un terme arabe qui peut être traduit par les « jours de Há », Há étant la lettre arabe correspondant au français H – commémore la transcendance de Dieu sur ses attributs, puisque son nom « Há » a été utilisé comme un symbole de l’essence de Dieu dans les écrits sacrés baháʼís. Dans le système de numérologie arabe, la lettre Há a la valeur numérique de cinq, ce qui est égal au nombre maximum de jours à Ayyam-i-Há. Ces jours de générosité,  aussi connus comme les Jours intercalaires, les Ayyám-i-Há ne sont pas inclus dans les dix-neuf mois de dix-neuf jours du calendrier bahá’í qu’ils ajustent pour qu’il corresponde aux 365 jours de l’année solaire (et grégorienne). Ils servent aussi de période de préparation pour le jeûne annuel bahá’í (du 1er au 19 mars), pendant lequel les bahá’ís s’abstiennent de manger et de boire du lever au coucher du soleil, et pour Naw-Rúz (le 20 mars) le Nouvel An bahá’í, célébré le premier jour du printemps.

Partout dans le monde, on célèbre la fête d’Ayyám-i-Há de bien des façons. À Montréal et hors de cette période de pandémie, on peut s’attendre à voir des échanges de cadeaux, entre amis, et entre les membres d’une famille, de grands repas, des projets de service et des fêtes pour enfants. Plusieurs écoles au Canada invitent les parents des enfants bahá’ís à faire une présentation devant leurs camarades de classe.

Partout au pays, dans divers quartiers, des groupes d’amis qui participent au processus de construction communautaire promu par les bahá’ís découvrent dans la fête d’Ayyám-i-Há une période de réjouissance durant laquelle ils peuvent renforcer leurs liens d’amour et d’amitié avec leurs voisins.

Au sujet de cette période Bahá’u’lláh a écrit :

Au cours de ces journées, il convient au peuple de Bahá d’organiser de bons repas pour eux, pour leur famille et, au-delà, pour les pauvres et les indigents, puis de saluer et de glorifier leur Seigneur, de chanter ses louanges et de magnifier son nom, dans la joie et l’allégresse […]. 

Montréal, le 25 décembre 2020 – Lors de son séjour à Londres au Royaume-Unis en 1911, le chroniqueur des voyages d'Abdu'l-Bahá raconte l'expérience extraordinaire d'une femme dont la petite fille, ayant eu un rêve, affirmait avec insistance que Jésus-Christ était sur terre et qui, en voyant la photographie d'Abdu'l-Bahá, exposée dans la vitrine d'un magasin de journaux, l'identifia instantanément avec la vision du Jésus-Christ de son rêve - fait qui poussa sa mère, lorsqu'elle lut qu'Abdu'l-Bahá était à Paris, à prendre le premier bateau pour l'Europe et à se hâter d'aller lui rendre visite ! Mais comment doit-on comprendre la naissance du Christ par l'œuvre du Saint-Esprit ? Voici les explications d'Abdu'l-Bahá :

Sur cette question, les théologiens et les matérialistes sont en désaccord. Les premiers croient que le Christ était l'œuvre du Saint-Esprit. Les matérialistes pensent que c'est là une chose inadmissible et impossible et que, sans aucun doute, il provenait d'un père.

D'autre part, dans le Quran il est dit : « Et nous lui envoyâmes notre Esprit, et il lui apparut dans l'image d'un homme parfait ». C'est-à-dire que le Saint-Esprit prit l'image de la forme humaine, comme la forme qui est reproduite dans un miroir; et il parla à Marie. 

Les matérialistes voient là un mariage, car ils disent qu'un être vivant ne peut pas être créé d'un être sans vie, ni exister sans les rapports du mâle et de la femelle. Et ils pensent que, de l'homme aux animaux et des animaux aux végétaux, cela est impossible. Car cet accouplement du mâle et de la femelle se rencontre chez tous les êtres vivants, même chez les plantes.

Le Quran lui-même donne une preuve de l'accouplement des choses : « Gloire à celui qui a créé tous les couples : ceux qui poussent de la terre, ceux qui viennent d'eux-mêmes, et ceux que nous ne connaissons pas ». C'est-à-dire que l'homme, les animaux, les plantes, tous proviennent de couples. 

« Et il n'y a aucune chose que nous n'ayons créée par couples de deux. » C'est-à-dire nous avons créé tous les êtres par accouplement.

Bref, les matérialistes disent qu'on ne peut imaginer un homme sans père.

En réponse, les théologiens disent : Ce n'est pas une chose impossible ou inaccomplissable, c'est une chose qui n'a pas été vue; et il y a une grande différence entre une chose impossible et une chose inconnue.

Par exemple, autrefois le télégraphe qui fait communiquer l'Orient et l'Occident était inconnu, non impossible; la photographie, la phonographie étaient inconnues, non impossibles.

Les matérialistes insistent, et les théologiens demandent : « Ce globe terrestre est-il éternel ou accidentel ? » Les matérialistes disent; « D'après la science et les découvertes les plus sérieuses, il est certain qu'il est accidentel; au début, c'était une masse en ignition, et peu à peu il devint tempéré; puis une croûte se forma au-dessus de laquelle les plantes furent créées; ensuite les animaux vinrent au monde, puis l'homme apparut. »

Les théologiens répondent : « D'après votre exposé, il est clairement établi que l'humanité sur le globe terrestre est accidentelle, non éternelle; donc certainement, le premier homme n'a eu ni père, ni mère, puisque l'existence de l'humanité est accidentelle.

Est-ce que la création de l'homme sans père ni mère, mais par degrés successifs, n'est pas plus difficile à admettre que simplement sans un père? Vous admettez que le premier homme est apparu, soit progressivement, soit tout d'un coup, mais sans père ni mère; il ne doit pas rester de doute qu'un homme sans père soit aussi possible et admissible; vous ne pouvez considérer cela comme une impossibilité; autrement, vous êtes inconséquents.

Par exemple, si vous dites que cette lampe a une fois été allumée sans mèche ni huile, puis si vous dites qu'il est impossible de l'allumer sans mèche, c'est une inconséquence. »

Le Christ avait une mère, mais le premier homme, selon les matérialistes, n'avait ni père ni mère !

Références : DIEU PASSE PRES DE NOUS, Shoghi Effendi

‘Abdu’l-Bahá, Les leçons de Saint-Jean d’Acre

  1. Qur’án 19:17; cf. Saint-Luc 1:26–8
  2. Qur’án 36:36
  3. Cf. Qur’án 13:3

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